Soixante et un. C'est actuellement le nombre de porte-conteneurs de CMA CGM appareillés pour se brancher à quai. Le troisième armateur mondial de porte-conteneurs s'est engagé à avoir la totalité de sa flotte (en propriété) équipée d'ici 2050. Un choix qui ne peut être que politique car le modèle économique n'est pas encore rentable, explique Laurent Martens, à la tête de Terminal Link, la filiale portuaire de CMA CGM. Christophe Seguinot, le directeur technique de La Méridionale, confirme. La compagnie marseillaise de ro-pax est une pionnière dans ce domaine.
Plus personne ne doute des vertus du branchement électrique à quai, qui permet à un navire en escale de couper les moteurs auxiliaires, tout en couvrant ses besoins (primordiaux et non accessoires) en énergies, notamment mais pas exclusivement, pour maintenir la température contrôlée des conteneurs réfrigérés par exemple. Avec à la clé, une élimination intégrale des émissions…
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