Le vivier traditionnel de recrutement de la filière fluviale, c’est-à-dire être batelier de père en fils sur plusieurs générations, se tarit. Il y a urgence à attirer des jeunes et moins jeunes d’autres milieux et horizons, alors que 200 à 300 emplois sont vacants dans les métiers fluviaux. Les défis à relever pour y parvenir sont nombreux, selon des échanges lors d’une table-ronde de Riverdating 2022.
« Nous avons changé d’époque pour le marché de l’emploi où la tension est extrême avec des difficultés à recruter très élevées. Le transport fluvial avait déjà du mal à attirer les talents et présentait une pyramide des âges vieillissante, comme les autres filières des transports et services ; puis, la pandémie est passée par là et nous avons perdu des salariés. L’activité…
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