Dans les ports de Wilhelmshaven et de Magdebourg, des tests sont réalisés pour vérifier l’efficacité de solutions contre des cyber-attaques visant les engins utilisés pour la manutention et appelés à devenir de plus en plus automatisés donc plus vulnérables.
L’institut de recherches allemand IFF, du groupement de recherche en sciences appliquées Fraunhofer, a développé avec ses partenaires industriels, notamment le port de Magdebourg sur l’Elbe, une série d’outils permettant d’éviter les cyber-attaques dans les ports 4.0 de demain.
« A quelques exceptions près, ce sont aujourd’hui les hommes qui transportent les conteneurs dans les terminaux portuaires, à l’aide de véhicules, de A vers B, rappelle l’institut IFF dans un communiqué consacré à la cyber-sécurité dans les terminaux portuaires de demain. A l’avenir, les mouvements de chargement-déchargement se feront de matière entièrement automatisée entre navires ou bateaux, camions et trains, grâce à des capteurs qui permettront aux véhicules d’inter-réagir, de reconnaître leurs positions et de procéder de façon…
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