Dunkerque compte sur les investisseurs belges pour continuer à développer ses activités maritimes, logistiques et industrielles dans les années à venir. Le port estime disposer d’arguments suffisamment convaincants pour les attirer. Le message est de plus en plus souvent entendu de l’autre côté de la frontière.
La liste des opérateurs belges déjà présents à Dunkerque n’a cessé de s’allonger ces dernières années : Sea-Bulk, Ecophos (100 millions d’euros d’investissements, une centaine d’emplois), Indaver, filiale du groupe Katoen Natie (50 millions d’euros, 40 emplois), Dufour… n’en sont que quelques exemples.
« Les entreprises belges comptent énormément pour nous. Sur notre plate-forme industrielle et maritime, elles sont les premiers investisseurs étrangers », a souligné Daniel Deschodt, le directeur commercial de Dunkerque-Port, en ouvrant le « déjeuner de rencontre » que le port nordiste organisait « en voisin » le 11 juin 2019 à Courtrai. Une trentaine d’acteurs économiques flamands et wallons avaient répondu à l’invitation lancée en partenariat avec la chambre de commerce franco-belge.
La liste des opérateurs belges déjà présents à Dunkerque n’a cessé de s’allonger ces dernières années : Sea-Bulk, Ecophos (100 millions d’euros d’investissements, une centaine d’emplois), Indaver, filiale du groupe Katoen Natie (50 millions d’euros, 40 emplois), Dufour… n’en sont que quelques exemples.
« Les entreprises belges comptent énormément pour nous. Sur notre plate-forme industrielle et maritime, elles sont les premiers investisseurs étrangers », a souligné Daniel Deschodt, le directeur commercial de Dunkerque-Port, en ouvrant le « déjeuner de rencontre » que le port nordiste organisait « en voisin » le 11 juin 2019 à Courtrai. Une trentaine d’acteurs économiques flamands et wallons avaient répondu à l’invitation lancée en partenariat avec la chambre de commerce franco-belge.
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