Dans le combat pour rendre l’économie plus durable, les ports belges sont en première ligne. Plaques tournantes multimodales, ce qui leur permet de stimuler les transports produisant le moins d’émissions, ils constituent souvent des zones industrielles de tout premier plan. C’est le cas d’Anvers, avec son complexe pétro-chimique, l’un des plus grands au monde, et de Gand, avec ses nombreuses entreprises sidérurgiques.
La nécessité d’une transition économique et énergétique et d’une réduction de l’empreinte écologique ne fait plus débat. Les autorités portuaires et les acteurs économiques se donnent la main pour formuler une réponse à cette question esssentielle pour l’avenir. Mais le défi est de taille et ne peut être relevé en un jour. Du fait de la nature de leurs activités actuelles et des besoins énergétiques des entreprises qu’ils abritent, les ports restent des pôles de l’économie carbone et des sources importantes d’émissions. Le port d’Anvers représenterait à lui seul près…
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