Au cours des siècles, le canal du Midi a évolué vers une utilisation touristique marquée par la plantation d’arbres jusqu’aux platanes, victimes du chancre coloré. VNF conduit un programme d’abattage et de replantation.
A l’époque de Pierre-Paul Riquet sous le règne de Louis XIV, l’environnement « paysager » du canal du Midi, alors dénommé « canal Royal du Languedoc » (ce sont les révolutionnaires qui vont le rebaptiser en 1789) n’est pas celui que l’on connaît actuellement. En cette période, on a davantage besoin de louer les plat-bord à des fermiers pour en faire des potagers ou y cultiver quelques céréales comme le maïs, le blé ou l’avoine que de créer une voûte ombragée pour la plaisance.
à l’origine, il y avait donc très peu d’arbres le long du canal du Midi, ce sont les successeurs de Pierre-Paul Riquet qui vont planter progressivement des saules et des mûriers pour stabiliser les berges du canal. En particulier, aux endroits stratégiques où il est en surplomb des terrains avoisinants et pour inciter à l’élevage du ver à soie. En effet, c’est d’abord un impératif économique qui va être à l’origine de ces plantations, rapidement rejoint par un souci de confort. L’ombre des arbres…
A l’époque de Pierre-Paul Riquet sous le règne de Louis XIV, l’environnement « paysager » du canal du Midi, alors dénommé « canal Royal du Languedoc » (ce sont les révolutionnaires qui vont le rebaptiser en 1789) n’est pas celui que l’on connaît actuellement. En cette période, on a davantage besoin de louer les plat-bord à des fermiers pour en faire des potagers ou y cultiver quelques céréales comme le maïs, le blé ou l’avoine que de créer une voûte ombragée pour la plaisance.
à l’origine, il y avait donc très peu d’arbres le long du canal du Midi, ce sont les successeurs de Pierre-Paul Riquet qui vont planter progressivement des saules et des mûriers pour stabiliser les berges du canal. En particulier, aux endroits stratégiques où il est en surplomb des terrains avoisinants et pour inciter à l’élevage du ver à soie. En effet, c’est d’abord un impératif économique qui va être à l’origine de ces plantations, rapidement rejoint par un souci de confort. L’ombre des arbres…
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