Les entreprises pourraient ne pas participer à la gouvernance future de Haropa

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La fédération SeinePort Union, créée à l’initiative des unions portuaires du Havre, de Rouen, de Gennevilliers et de Paris, alerte sur l’absence de volonté du gouvernement d’intégrer les acteurs économiques privées dans la future gouvernance de Haropa suite à la fusion des trois ports de l’axe Seine, alors que des annonces sont pour bientôt.
« Nous sommes sûrs aujourd’hui qu’il n’est pas encore décidé que les entreprises que nous représentons soient intégrées à la gouvernance de Haropa, une fois la fusion des trois ports de l’axe Seine effective, déclare Thomas Courtier, au nom de la fédération SeinePort Union, également directeur de l’union portuaire rouennaise. Nous avons rencontré plusieurs conseillers des différents cabinets ministériels concernés par ce projet. On nous oppose toujours les conflits d’intérêts possibles. Nous ne partageons pas cette analyse ».
Les différentes unions portuaires regroupent des entreprises qui sont en concurrence les unes avec les autres et savent échanger au-delà de cette situation et dépasser les possibles conflits d’intérêt entre elles. Il en sera de même pour leurs représentants, une fois membres de la gouvernance de Haropa suite à la fusion.
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