Lors d’une audition devant la commission du développement durable et de l’aménagement du territoire de l’Assemblée nationale le 23 avril 2020, le secrétaire d’État aux Transports a mis en avant le fret ferroviaire pour l’après-crise du Covid-19 et donné des réponses très générales et peu engageantes aux questions des députés sur les ports et le fluvial.
Lors d’une audition devant la commission du développement durable et de l’aménagement du territoire de l’Assemblée nationale le 23 avril 2020, le secrétaire d’État aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, a mis en avant dans son propos introductif la nécessité de faire du fret ferroviaire « le chantier important de la deuxième partie du quinquennat », ajoutant : « Il y a une équation propre à Fret SNCF mais il faudra aussi aider quelques opérateurs, qui sont trop petits, à se rapprocher, y compris au niveau européen. Il faut aussi travailler sur des axes stratégiques, trouver les bons partenariats. » Pour lui, ce travail s’inscrit dans le cadre de la transition écologique « qui est nécessaire et doit désormais se traduire dans les faits » et non plus seulement dans les discours politiques.
Aux nombreuses…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?