Les navires de commerce, de service intègrent toujours plus de nouvelles technologies dans la perspective de devenir autonomes, sûrs, économes et respectueux de l’environnement… Le navire transporte des milliers de marchandises embarquant avec lui des millions de données pour gagner en compétitivité. Cependant la course au navire autonome semble aujourd’hui freinée par des considérations réglementaires et probablement sociales. Et si finalement, la vérité se situait entre les deux avec le marin augmenté ?
« Nous verrons des navires autonomes bien avant les voitures autonomes. Le transport maritime s’avère finalement plus simple que le transport routier. Aujourd’hui, nous parlons avant tout du marin augmenté, c’est-à-dire des navigants qui exploitent la réalité augmentée pour gagner en efficacité. Les aides à la décision vont se généraliser jusqu’à ce que le navire devienne autonome puis se démocratise », a lancé Thomas Buret, directeur général de la société iXblue. Copilote de la feuille de route « Smart Ship » au sein de la filière des industriels de la mer, le chef d’entreprise a expliqué à un panel d’experts de la filière militaire et civile, lors des Blue Med Days à Toulon en octobre…
« Nous verrons des navires autonomes bien avant les voitures autonomes. Le transport maritime s’avère finalement plus simple que le transport routier. Aujourd’hui, nous parlons avant tout du marin augmenté, c’est-à-dire des navigants qui exploitent la réalité augmentée pour gagner en efficacité. Les aides à la décision vont se généraliser jusqu’à ce que le navire devienne autonome puis se démocratise », a lancé Thomas Buret, directeur général de la société iXblue. Copilote de la feuille de route « Smart Ship » au sein de la filière des industriels de la mer, le chef d’entreprise a expliqué à un panel d’experts de la filière militaire et civile, lors des Blue Med Days à Toulon en octobre…
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