Deux axes s’imposent de façon prioritaire à Haropa-Ports de Paris pour la préparation des Jeux olympiques de 2024 : la facilitation des chantiers par la mise à disposition de quais et l’amélioration de la qualité des eaux de la Seine.
La construction du village olympique à Saint-Denis, Saint-Ouen et l’Île-Saint-Denis va produire une grande quantité de déblais, et nécessite l’arrivée de matériaux de construction. Pour cela, Haropa-Ports de Paris s’est mis en ordre de marche, pour que des quais soient disponibles afin que le chantier ait recours au transport fluvial. « Nous devons faciliter l’utilisation du fluvial pour ces chantiers par la mise à disposition de quais pour les transports de déblais et de matériaux, à l’instar de ce que nous avons fait avec la Société du Grand Paris. Ces Jeux olympiques sont l’occasion de faire ce que nous avons appelé le « pari de la Seine ». Le fleuve est en effet un atout pour l’organisation de Paris 2024, et nous devons relever ce pari, en particulier pour la construction du village des athlètes », explique le directeur général du port, Antoine Berbain.
Pour privilégier le fluvial pour le transport des matériaux et déblais du chantier de construction…
La construction du village olympique à Saint-Denis, Saint-Ouen et l’Île-Saint-Denis va produire une grande quantité de déblais, et nécessite l’arrivée de matériaux de construction. Pour cela, Haropa-Ports de Paris s’est mis en ordre de marche, pour que des quais soient disponibles afin que le chantier ait recours au transport fluvial. « Nous devons faciliter l’utilisation du fluvial pour ces chantiers par la mise à disposition de quais pour les transports de déblais et de matériaux, à l’instar de ce que nous avons fait avec la Société du Grand Paris. Ces Jeux olympiques sont l’occasion de faire ce que nous avons appelé le « pari de la Seine ». Le fleuve est en effet un atout pour l’organisation de Paris 2024, et nous devons relever ce pari, en particulier pour la construction du village des athlètes », explique le directeur général du port, Antoine Berbain.
Pour privilégier le fluvial pour le transport des matériaux et déblais du chantier de construction…
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