Pour les deux organisations, l’Union européenne de la navigation fluviale (UENF/EBU) et l’Organisation européenne des bateliers (OEB/ESO), la démarche vise à faire sortir de l’ombre la navigation intérieure et les opérateurs fluviaux au niveau politique au sein de l’Union européenne.
Au-delà de cette option politique, plus concrètement, quelles sont les conditions de la compétitivité et de la rentabilité des opérateurs fluviaux ou ferroviaires ? Comment, tout en répondant à une ou des demandes de chargeurs, mettre en place des services ou liaisons fluviales et/ou ferroviaires rentables et pérennes ? Comment favoriser le report modal et l’intermodalité ?
Parmi les maîtres mots que vous lirez dans les pages suivantes en réponses à ces questions : volume, remplissage, régularité, fréquence, flux aller-retour, souplesse, qualité, géographie, optimisation, confiance, innovation, numérisation, flexibilité…
Et puis une évidence, le fluvial et le ferroviaire évoluent dans un contexte concurrentiel et compétitif comparativement au transport routier de marchandises. Le prix reste un élément décisionnel majeur pour un chargeur. Les préoccupations environnementales viennent éventuellement ensuite.
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- Une stratégie volontariste en faveur du report modal
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- Amener les clients à des solutions performantes
- Adaptation et réactivité sont nécessaires
- Un chargeur décide toujours sur 1 conteneur, 1 délai, 1 coût
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